Un
court article* que j'ai lu qui m'a intéressé car concerné par le sujet
dont je voulais en faire part. Pourquoi ? Car je pense que c'est un
sujet d'actualité qui touche certaines d'entre nous, et je sais que
l'été dernier j'avais surpris quelques personnes.
J'en viens au fait. Une philosophe américaine, Elisabeth Badinter, nous apprend que 20% des américaines de 40 ans n'ont pas d'enfants. En France, 12 à 16 % des femmes nées en 1980 n'en auront pas, et 30% des allemandes refusent de procréer. "Ce sujet me passionne. C'est la première fois dans l'histoire qu'on peut refuser d'être mère. Quand on a voté la loi sur l'IVG, personne n'a pensé aux conséquences sur le long terme, à l'influence que cela aura sur la vie des femmes. On avait d'autres urgences à régler. C'est notre liberté la plus taboue, celle qui dit non à la maternité -"Parce que je préfère mon mec, mon travail, ma liberté" - subit une forme de jalousie et de condamnation de la part des couples avec enfants. C'est une telle révolution. La question que cela pose - je n'en ai pas la réponse - est : comment va-t-on définir la femme par rapport à l'homme, puisqu'on ne la définit plus par sa maternité ? Ce retournement radical remet en cause l'instinct maternel, notre définition essentielle." **
Il y a déjà un point
qui me dérange : c'est son point de vue par rapport à la loi sur l'IVG. Je pense que c'est un peu gros car
il ne faut pas oublier les moyens contraceptifs comme la pilule par
exemple.
Certes, nous avons le choix.
Certes, nous avons le choix.
En ce qui me concerne, lorsque j'étais fleur bleue, je n'avais qu'une
hâte : fonder une famille. Treize ans après, avec une dizaine d'années
d'expérience professionnelle dans la petite enfance...non. J'adore mon
métier, et être parents c'est un job à temps complet. Je me demande si
certains l'ont réalisé.
C'est vrai que je suis née dans les années 1980 mais de dire que j'ai décidé de ne pas avoir d'enfants ça serait trop fort. Pour moi chaque chose à son temps. Puis il y a des facteurs qui y jouent dont ma santé psychique...
C'est vrai que je suis née dans les années 1980 mais de dire que j'ai décidé de ne pas avoir d'enfants ça serait trop fort. Pour moi chaque chose à son temps. Puis il y a des facteurs qui y jouent dont ma santé psychique...
Sûrement qu'il y a certaines de ses femmes qui refusent d'être mère pour certaines raisons (santé), et elles n'ont pas besoin de se justifier.
Bô-papa a beau me faire rappeler que l'horloge biologique fait tic tac mais je suis heureuse comme ça. Puis avec Chéri, je veux vivre tout d'abord pleinement notre relation, et l'un et l'autre de toute façon ne sommes prêt pour être parents. Chacun pris par ses priorités, lui sa carrière et autres, et moi reprendre mes études est l'une d'elles. Ça prendra le temps nécessaire. Et c'est ce que je réponds désormais à mes proches, si un jour le destin souhaite que je sois mère, je le serais. Je ne m'engage pas à dire que je le souhaite ou refuse car je pense avant tout que ça dépends de la vie que nous menons, de nos attentes, priorités. C'est quelque chose à laquelle je n'y pense pas.
Bô-papa a beau me faire rappeler que l'horloge biologique fait tic tac mais je suis heureuse comme ça. Puis avec Chéri, je veux vivre tout d'abord pleinement notre relation, et l'un et l'autre de toute façon ne sommes prêt pour être parents. Chacun pris par ses priorités, lui sa carrière et autres, et moi reprendre mes études est l'une d'elles. Ça prendra le temps nécessaire. Et c'est ce que je réponds désormais à mes proches, si un jour le destin souhaite que je sois mère, je le serais. Je ne m'engage pas à dire que je le souhaite ou refuse car je pense avant tout que ça dépends de la vie que nous menons, de nos attentes, priorités. C'est quelque chose à laquelle je n'y pense pas.
J'ai un couple d'amis dont ils préfèrent adopter que concevoir, même après dix ans de mariage, et sont comme moi, prennent le temps de voir quel tournure leur vie prendra pour passer à l'action.
Je sais que dans le cas contraire, certaines feront tout pour parvenir à leur fin. J'avais lu l'an dernier un article dans le même magazine concernant des célibataires en mal d'être parent. Ils concevaient alors un enfant et vivaient par la suite se partageant l'enfant... quelque chose dans le genre. Je ne juge pas. Chacun fait bon ce qui lui semble. Mais il ne faut pas que par la suite ça soit l'enfant qui en paye le prix.
Je sais que dans le cas contraire, certaines feront tout pour parvenir à leur fin. J'avais lu l'an dernier un article dans le même magazine concernant des célibataires en mal d'être parent. Ils concevaient alors un enfant et vivaient par la suite se partageant l'enfant... quelque chose dans le genre. Je ne juge pas. Chacun fait bon ce qui lui semble. Mais il ne faut pas que par la suite ça soit l'enfant qui en paye le prix.
J'ai vu certaines de mes copines se séparer de leurs époux car leurs désirs d'enfants étant trop fort, et leurs moitiés refusant d'attendre parler d'adoption, en sont arrivée là.
Et vous ? Est-ce que vous vous sentez concerné par ce petit article ?
*Magazine Marie-Claire.
** "Egoistes, superficielles, autocentrées : 16 écrivaines expliquent pourquoi elles ne veulent pas d'enfants". éd. Picador
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